jeudi 13 février 2014

Artprice T4 2013 : Croissance à deux chiffres, modèle gratuit n’impactant pas le C.A. validé. Objectif 10 millions de clients, le Marché de l’Art connaît une croissance sans précèdent.

Les chiffres du 4 t 2013 sont en progression avec une croissance à 2 chiffres de +23% du CA total et de +29% pour l'Internet. Ils confirment ainsi le pari industriel d'injecter 540 millions de données alphanumériques gratuites, de manière contractuelle à Google Inc.

Le véritable succès économique réside dans le fait qu'Artprice n'a pas perdu de chiffre d'affaires et en a même gagné, avec une croissance à 2 chiffres, ce que la presse écrite et de nombreux éditeurs, hélas, ne peuvent revendiquer sauf en de rares cas. Fort de ce succès industriel, validé par ses chiffres, Artprice va continuer plus que jamais d'injecter sous différents formatages, ces centaines de millions de nouvelles données alphanumériques gratuites dans les mêmes conditions juridiques pour 2014 et 2015.

Pour simple information, depuis le déploiement en test de nouveaux formatages de data en septembre 2013, Artprice constate une augmentation de 29% au 4 T 2013 sur le chiffre d'affaires Internet, par rapport au 4 T 2012.

En effet, a contrario de la presse écrite dans le monde, qui est confrontée à une crise sans précèdent car elle ne trouve pas encore de modèle rentable avec l'Internet, Artprice, depuis début janvier 2014, a accéléré l'injection de 80% de ses données en mode gratuit dans Internet avec 540 millions de data en mode freeware (licence informatique propriétaire distribuée gratuitement sans toutefois conférer à l'utilisateur certaines libertés d'usage) par ses accords avec Google (depuis 2003) puis Baidu (Chine).
Arprice détermine avec précision la bonne césure dans la valeur ajoutée de ses données, en ne gardant en mode payant que les 20% de la donnée où la valeur ajoutée déterminante réside, cautionnant ainsi la véracité des 80% de part gratuite.


Le modèle qui est solidement validé va même permettre à Artprice, une augmentation de ses tarifs dès février 2014 sur les 20% de data payantes. De même, une politique de durcissement anti-fraudeurs se met en place. Cette économie numérique en pleine croissance mondiale se nomme " freemium ", où le principal est gratuit et la valeur ajoutée payante.

Selon thierry Ehrmann, Président et fondateur d'Artprice, cela démontre la capacité exceptionnelle d'Artprice à générer de nouveaux clients qualifiés et de viser à terme (horizon 2014/2015) plus de 10 millions de profil clients avec leurs modes comportementaux grâce notamment à l'aide conséquente des réseaux sociaux, dans le respect des textes en vigueur, sans la moindre perte de C.A. avec un résultat positif et un accroissement des fonds propres (c.f. 2012).

Ces masses de données gratuites en mode freeware très importantes pour le Marché de l'Art vont continuer à modifier radicalement la structure de la connaissance de ce marché historique et très archaïque et donc faire migrer les transactions physiques vers l'Internet de par la normalisation des œuvres permettant ainsi la dématérialisation comme la corbeille et les carnets d'ordres face aux bourses électroniques (ECN).

Les chiffres d'Artprice qui ont été clôturés en 2013 valident en tous points cette stratégie et ont permis d'acquérir durant cet exercice une masse considérable de nouveaux clients avec leurs modes comportementaux, dans le strict respect des textes en vigueur en France, en Europe et aux USA notamment.

Les informations personnelles constituent un bien très précieux pour les principaux acteurs d'Internet (exemple : Amazon, Apple, Facebook, Google et Microsoft). Ces géants peuvent ainsi mieux anticiper les demandes des internautes et leur proposer des réponses payantes très ciblées. «Les données personnelles sont devenues une nouvelle matière première», selon J. Colin, expert chez Roland Berger Strategy Consultant. Selon ce célèbre institut d'études qui vient de publier une analyse sur «la gestion et l'exploitation des données des utilisateurs», le secteur est en croissance exponentielle car la production et la quantité de données générées sur Internet sont en pleine expansion.

Une tendance qu'Artprice a acquise en pionnier, à travers le Big Data et l'analyse de milliards de logs de comportements de ses clients dans le respect des législations nationales, européennes et américaines. Pour la France, l'institut d'études Roland Berger estime le simple marché français sur les données personnelles comme un marché de 100 milliards de dollars (cf. Le Figaro).

Pour rappel, Artprice opère sur 72 pays et, au regard des critères de cette étude, ne peut que constater que la valorisation des données comportementales relatives au Marché de l'Art positionne les données d'Artprice en haut de l'échelle de Roland Berger Strategy Consultant.

Ces données, qui ne sont pas activées dans le bilan d'Artprice, constituent pourtant de très loin, sa richesse principale, d'où une double cotation en réflexion avancée sur une bourse étrangère qui maîtrise et valorise cet actif immatériel que la place de Paris ignore par faute de référents.

Concernant sa Place de Marché Normalisée aux Enchères, Artprice ne peut que constater la volonté très clairement affichée et sans ambiguïté du Conseil des Ventes Volontaires (Instance de régulation française du Marché de l'Art) de modifier à nouveau la loi du 20 juillet 2011 (2011-850) et notamment l'article 5, sous lequel Artprice a bâti son cahier des charges et sa Place de Marché Normalisée aux Enchères en tant que "infrastructure permettant la réalisation d'opérations de courtage aux enchères réalisées à distance par voie électronique".

Cette position inconcevable mène ainsi Artprice à redévelopper intégralement cette activité en Asie, plus particulièrement à Hong Kong avec de nouvelles plates-formes bancaires pour 2014.
Pour mémoire, Artprice rappelle que la France s'est vue sérieusement remise à l'ordre par la vraie fausse réforme du 10 juillet 2000. De surcroît, la France a produit, pour sa deuxième réforme de 2011, une nouvelle loi suite à la directive européenne sur les services, avec deux années de retard, tout cela pour préserver les intérêts des acteurs français, ce qui n'a pas empêché le déclin de la France, reléguée désormais avec 4% de parts de marché fine art et moins de 2,7% sur le segment contemporain.

Artprice a donc pris connaissance par la presse, d'une troisième "réforme" française sur les enchères d'art en préparation visant principalement les acteurs de l'Internet. Cette démarche se passe de tout commentaire. Cet incroyable posture française pour annihiler les enchères d'art sur Internet illustre parfaitement le climat économique et politique actuel en France.

Cette focalisation du Conseil des Ventes, avec des déclarations publiques récurrentes telles que: "les géants du net Artprice et Ebay ont créé une confusion vis-à-vis des consommateurs", vient corroborer la décision d'Artprice d'annoncer en Assemblée Générale d'installer intégralement sa Place de Marché Normalisée à prix fixe et aux enchères en Asie où se réalise plus de 50% du Marché de l'Art mondial, avec une prévision pour 2015 de 70% (Cf. Evénements futurs: Déplacement du cœur industriel de Artprice à Hong Kong http://www.actusnews.com/communique.php?ID=ACTUS-0-32651).
Cette démarche relève de l'acte de gestion salutaire et bénéfique pour Artprice, ses clients, ses actionnaires français et étrangers au regard de l'état des lieux du Marché de l'Art et des entraves en France.

Artprice rappelle que sa Place de Marché Normalisée à prix fixe (pour laquelle elle ne perçoit aucune commission) croît de manière conséquente d'année en année depuis 2005, notamment sur l'année 2013.

Le Marché de l'Art est en pleine croissance

Enfin en dehors de la France, le Marché de l'Art est en pleine croissance avec pour 2013, la meilleure année jamais enregistrée en terme de chiffre d'affaires et l'indice global des prix de l'art (Artprice Global Index) prend 15 points cette année, au profit d'une hausse général de l'ordre de 80 % en 10 ans.

2014 s'annonce déjà comme une année record, confirmant que le Marché de l'Art est une véritable valeur refuge et désormais un véritable marché avec une abondante liquidité par la croissance exponentielle des acheteurs et vendeurs. Pour autant le taux d'invendus est linéaire depuis 10 ans, ce qui signifie qu'il n'existe pas de spéculation de type achat ATP et que la croissance du Marché de l'Art est vertueuse .

Il est bon de repréciser que le Marché de l'Art est passé des 500 000 grands collectionneurs de l'après-guerre à plus de 70 millions de consommateurs, amateurs et collectionneurs d'art dans le monde. Les chiffres du rapport annuel témoignent de cette révolution sociologique sur le Marché de l'Art. Historiens comme Sociologues attestent de cette mutation phénoménale du Marché de l'Art, ces 15 dernières années.

Artprice en exclusivité avec l'AFP sortira les chiffre clés de son rapport annuel du Marché de l'Art la semaine prochaine et que reprennent par son rapport ,chaque année, 6 300 médias dans le monde.

Evénements futurs

Artprice opérera cette transformation avec un nouveau développement informatique de l'intégralité de la Place de Marché Normalisée à prix fixe et aux enchères, avec une extrême simplicité pour les clients, Artprice n'ayant pas à subir les contraintes malheureuses et invraisemblables imposées par la France. Artprice a donc réécrit l'intégralité de sa place de Marché à Prix Fixe et aux enchères ainsi que les différentes banques de données.

En décembre 2013, Artprice a mis en ligne en version bêta, sa nouvelle Place de Marché Normalisée avec un design particulièrement attractif et intuitif demandé par ses clients. La version bêta déployée en décembre 2013 fonctionne parfaitement avec des retours clientèles élogieux. Artprice sera donc conforme à ses calendriers malgré les tracasseries administratives françaises invraisemblables qui expliquent entre autres la place de mauvais élève de la France dans le Marché de l'Art malgré ses atouts historiques incontestables.

Pour cette nouvelle version bêta, Artprice a fait en sorte que, quel que soit le smartphone, la phablet, la tablette, le système d'exploitation, notamment Androïd, IOS et Windows Phone, soit près de 7 000 versions toutes cumulées, l'utilisateur d'Artprice n'aura absolument plus besoin de télécharger des applications. Tout est écrit pour que l'utilisateur d'Artprice, quel que soit son mobile Internet dans le monde, ait Artprice en version optimisée, avec une ergonomie très intuitive.

Le futur site en ligne inclura les nouveaux modes de paiement comme bien sûr le kiosque, avec la possibilité pour Artprice de mettre ses banques de données au cœur de l'opérateur 4G/LTE, sans aucun risque de piratage d'un tiers. Bien évidemment, les kiosques 4G, LTE (Long Term Evolution) en Asie et aux USA à terme sont un formidable relais de croissance pour Artprice avec les kiosques payants de type Apple iTunes.

Pour 2014, l'ensemble des grands bureaux d'études émet un consensus sur le fait que la majorité des accès à Internet se feront dans le monde entier avec des objets mobiles (smartphones, phablet, tablettes, NetTV…), en utilisant des réseaux sans fil. Selon eux, en 2014 sur une année pleine, 2,8 milliards de personnes utiliseront des objets et réseaux mobiles pour accéder à Internet et dépasseront pour la première fois les 2 autres milliards d'internautes sur réseaux fixes.

La domination commerciale de l'Internet mobile colle parfaitement à Artprice, car sa clientèle est par nature nomade, aisée et a besoin d'informations dans le feu de l'action (Galeries, Salles des ventes, Expertises…). L'Internet mobile pour Artprice devrait représenter sous peu de temps 80% de ses consultations. Artprice, en janvier 2014, est déjà à près de 61 % (iOS, Android). Ce chiffre est très supérieur à la moyenne de 34% rencontrée sur les sites marchands au 1er semestre 2013 .

Artprice considère que ce nouveau paradigme économique de l'Internet mobile est irréversible ainsi que l'arrivée très récente des "Silver surfeurs" que sont les plus de 50 ans, amateurs et collectionneurs d'art, à haut pouvoir d'achat et principaux utilisateurs d'Artprice, qui font désormais d'Internet leur terrain de prédilection pour la recherche d'œuvres d'art dans le monde avec les tablettes et smartphones à grand écran qui correspondent parfaitement à leurs cultures de Seniors. Le P.C. représentait pour eux, une vraie barrière psychologique pour accéder à Internet et donc à Artprice.
 Les derniers chiffres des bureaux d'études indiquent que les 50 ans CSP+ sont ceux qui se connectent désormais le plus massivement à l'Internet mobile, ces chiffres extérieurs abondent dans le sens d'Artprice.

En s'appuyant sur les différentes données, notamment celles de l'office européen de statistiques Eurostat, 63% des Européens ont acheté un bien ou un service sur Internet, (74% aux USA) en 2013.
Artprice note, par ailleurs, que les plus grandes Maisons de Ventes en 2013, qui se targuaient de plusieurs siècles d'existence, ne jurent plus désormais que par l'Internet où selon leurs propres propos, le middle market, qui représente 81% du Marché de l'Art mondial, est en train de muter sur Internet. C.F. Entretien de thierry Ehrmann, PDG d'Artprice, suite à l'interview du CEO de Christie's
http://www.actusnews.com/communique.php?ID=ACTUS-0-34664

De même, la vente d'œuvres d'art par les géants anglo-saxons et asiatiques de l'Internet est une formidable opportunité pour les banques de données normalisées ISO Artprice d'artistes et d'œuvres fine art, auxquelles leurs clients pourront être reliés.

Les process industriels d'Artprice (tous protégés au titre de la propriété intellectuelle aux USA, Europe et grande Asie) qui normalisent le Marché de l'Art (ID artiste/bio, ID œuvre/traçabilité, ID catalogue raisonné, ID estimation/économétrie, ID indice, ID image, ID bibliographie, ...) avec des centaines de millions de données propriétaires sont en train de se déployer dans l'Internet avec, sur 2014/2015 les bases de données en clair de l'intégralité des œuvres et de leurs traçabilités (de 1700 à nos jours) dans le Marché de l'Art pour générer une nouvelle accélération très forte du fichier clients mais aussi par le développement des A.P.I. ouvertes réalisées sous architecture REST.
De telles banques de données normalisées, qui s'enrichissent tous les jours, sont le fruit de dizaines d'acquisitions dans le monde par Artprice et plus d'un million d'heures de ses Historiens, Rédacteurs et Développeurs de 1997 à 2013 (c.f. détail et historique intégral dans le document de référence Artprice 2012 A.M.F. du 1er octobre 2013). Sans aucune contestation possible, les banques de données d'Artprice en 6 langues, dont le mandarin, sont reconnues indiscutablement comme les plus exhaustives au monde par l'ensemble des professionnels de l'Art.

En outre, Artprice a bâti son modèle économique en écartant le poste publicité en ligne, la culture du groupe n'étant pas de vendre prioritairement de l'espace publicitaire. Ceci dit, le fait d'injecter des centaines de millions de données prioritaires dans Internet fait qu'invariablement, Artprice est incontournable. Artprice a donc des acteurs du Marché de l'Art, principalement des galeries et des Maisons de Ventes qui lui demandent spontanément des campagnes sur mesure.
D'où pour 2014, la création d'une régie publicitaire qui inclura entre autres de la vidéo en format court. Ce changement de culture n'est pas un problème, mais plutôt une réponse construite à une demande entrante naturelle, sans que Artprice ait besoin de démarcher des clients.
De même, Artprice dès le 2T 2014, va déployer l'ensemble de ses services et produits qui seront intégrés nativement par des A.P.I. (interface de programmation) dans les réseaux sociaux après 18 mois de test sur Facebook, Tweeter et Artprice Insider.

D'ores et déjà, Artprice confirme officiellement qu'au regard des chiffres de Facebook, et de Socialbakers, Leader mondial de l'analyse des logs de Facebook, Artprice a créé la plus grande communauté mondiale qui s'intéresse spécifiquement à l'information sur le Marché de l'Art, avec plus de 9 millions de membres mensuels.

Par ailleurs, Artprice sur sa page officielle Facebook dégage un engagement logarithmique supérieur à 85, ce qui signifie en langage simple, que la communauté mondiale créée par Artprice possède un très fort degré d'implication et de redistribution de l'information qu'Artprice développe pour Facebook.

De même, avec l'analyse de Socialbakers, l'Asie, principalement la Chine, domine nettement la page officielle Facebook d'Artprice. D'où l'intérêt d'avoir bâti un deuxième réseau social propriétaire où les membres apparaîtront nominativement dans le réseau dénommé "Artprice Insider" qui a été développé avec des experts et consultants en réseaux sociaux.

La logique retenue est de placer un réseau social puissant et ouvert de type Facebook qui permet à Artprice de capitaliser de nouveaux clients en masse dans différentes langues, avec des barrières strictes en terme d'échanges. Par la suite, ces nouveaux clients vont accéder à Artprice Insider sur lequel leur véritable identité ainsi qu'un indice de confiance leur permettront d'échanger à découvert, entre membres, des informations sensibles sur le Marché de l'Art qui ne peuvent bien évidemment pas être abordées sur un réseau grand public.

Ce retard a été bénéfique pour Artprice qui a pu ainsi inclure Twitter dans son fil d'information comme le réseau social destiné principalement aux émetteurs d'informations primaires de type agences de presse comme Artprice.

http://www.artprice.com (c)1987-2014 thierry Ehrmann
Pour les nouveaux actionnaires, Artprice vous invite à lire : "Entretien exclusif de thierry Ehrmann avec Trading and Ipo" du 30/09/2013 qui permet de décrypter en profondeur l'historique d'Artprice et ses développements futurs : http://www.actusnews.com/communique.php?ID=ACTUS-0-33600

Consulter mon avis personnel sur Atrprice avec objectif de cours ici :