Les chiffres du 4 t 2013 sont en progression avec une croissance à 2
chiffres de +23% du CA total et de +29% pour l'Internet. Ils confirment
ainsi le pari industriel d'injecter 540 millions de données
alphanumériques gratuites, de manière contractuelle à Google Inc.
Le véritable succès économique réside dans le fait qu'Artprice n'a
pas perdu de chiffre d'affaires et en a même gagné, avec une croissance à
2 chiffres, ce que la presse écrite et de nombreux éditeurs, hélas, ne
peuvent revendiquer sauf en de rares cas. Fort de ce succès industriel,
validé par ses chiffres, Artprice va continuer plus que jamais
d'injecter sous différents formatages, ces centaines de millions de
nouvelles données alphanumériques gratuites dans les mêmes conditions
juridiques pour 2014 et 2015.
Pour simple information, depuis le déploiement en test de nouveaux
formatages de data en septembre 2013, Artprice constate une augmentation
de 29% au 4 T 2013 sur le chiffre d'affaires Internet, par rapport au 4
T 2012.
En effet, a contrario de la presse écrite dans le monde, qui est
confrontée à une crise sans précèdent car elle ne trouve pas encore de
modèle rentable avec l'Internet, Artprice, depuis début janvier 2014, a
accéléré l'injection de 80% de ses données en mode gratuit dans Internet
avec 540 millions de data en mode freeware (licence informatique
propriétaire distribuée gratuitement sans toutefois conférer à
l'utilisateur certaines libertés d'usage) par ses accords avec Google
(depuis 2003) puis Baidu (Chine).
Arprice détermine avec précision la bonne césure dans la valeur
ajoutée de ses données, en ne gardant en mode payant que les 20% de la
donnée où la valeur ajoutée déterminante réside, cautionnant ainsi la
véracité des 80% de part gratuite.
Le modèle qui est solidement validé va même permettre à Artprice, une
augmentation de ses tarifs dès février 2014 sur les 20% de data
payantes. De même, une politique de durcissement anti-fraudeurs se met
en place. Cette économie numérique en pleine croissance mondiale se
nomme " freemium ", où le principal est gratuit et la valeur ajoutée
payante.
Selon thierry Ehrmann, Président et fondateur d'Artprice, cela
démontre la capacité exceptionnelle d'Artprice à générer de nouveaux
clients qualifiés et de viser à terme (horizon 2014/2015) plus de 10
millions de profil clients avec leurs modes comportementaux grâce
notamment à l'aide conséquente des réseaux sociaux, dans le respect des
textes en vigueur, sans la moindre perte de C.A. avec un résultat
positif et un accroissement des fonds propres (c.f. 2012).
Ces masses de données gratuites en mode freeware très importantes
pour le Marché de l'Art vont continuer à modifier radicalement la
structure de la connaissance de ce marché historique et très archaïque
et donc faire migrer les transactions physiques vers l'Internet de par
la normalisation des œuvres permettant ainsi la dématérialisation comme
la corbeille et les carnets d'ordres face aux bourses électroniques
(ECN).
Les chiffres d'Artprice qui ont été clôturés en 2013 valident en tous
points cette stratégie et ont permis d'acquérir durant cet exercice une
masse considérable de nouveaux clients avec leurs modes
comportementaux, dans le strict respect des textes en vigueur en France,
en Europe et aux USA notamment.
Les informations personnelles constituent un bien très précieux pour
les principaux acteurs d'Internet (exemple : Amazon, Apple, Facebook,
Google et Microsoft). Ces géants peuvent ainsi mieux anticiper les
demandes des internautes et leur proposer des réponses payantes très
ciblées. «Les données personnelles sont devenues une nouvelle matière
première», selon J. Colin, expert chez Roland Berger Strategy
Consultant. Selon ce célèbre institut d'études qui vient de publier une
analyse sur «la gestion et l'exploitation des données des utilisateurs»,
le secteur est en croissance exponentielle car la production et la
quantité de données générées sur Internet sont en pleine expansion.
Une tendance qu'Artprice a acquise en pionnier, à travers le Big Data
et l'analyse de milliards de logs de comportements de ses clients dans
le respect des législations nationales, européennes et américaines. Pour
la France, l'institut d'études Roland Berger estime le simple marché
français sur les données personnelles comme un marché de 100 milliards
de dollars (cf. Le Figaro).
Pour rappel, Artprice opère sur 72 pays et, au regard des critères de
cette étude, ne peut que constater que la valorisation des données
comportementales relatives au Marché de l'Art positionne les données
d'Artprice en haut de l'échelle de Roland Berger Strategy Consultant.
Ces données, qui ne sont pas activées dans le bilan d'Artprice,
constituent pourtant de très loin, sa richesse principale, d'où une
double cotation en réflexion avancée sur une bourse étrangère qui
maîtrise et valorise cet actif immatériel que la place de Paris ignore
par faute de référents.
Concernant sa Place de Marché Normalisée aux Enchères, Artprice ne
peut que constater la volonté très clairement affichée et sans ambiguïté
du Conseil des Ventes Volontaires (Instance de régulation française du
Marché de l'Art) de modifier à nouveau la loi du 20 juillet 2011
(2011-850) et notamment l'article 5, sous lequel Artprice a bâti son
cahier des charges et sa Place de Marché Normalisée aux Enchères en tant
que "infrastructure permettant la réalisation d'opérations de courtage
aux enchères réalisées à distance par voie électronique".
Cette position inconcevable mène ainsi Artprice à redévelopper
intégralement cette activité en Asie, plus particulièrement à Hong Kong
avec de nouvelles plates-formes bancaires pour 2014.
Pour mémoire, Artprice rappelle que la France s'est vue sérieusement
remise à l'ordre par la vraie fausse réforme du 10 juillet 2000. De
surcroît, la France a produit, pour sa deuxième réforme de 2011, une
nouvelle loi suite à la directive européenne sur les services, avec deux
années de retard, tout cela pour préserver les intérêts des acteurs
français, ce qui n'a pas empêché le déclin de la France, reléguée
désormais avec 4% de parts de marché fine art et moins de 2,7% sur le
segment contemporain.
Artprice a donc pris connaissance par la presse, d'une troisième
"réforme" française sur les enchères d'art en préparation visant
principalement les acteurs de l'Internet. Cette démarche se passe de
tout commentaire. Cet incroyable posture française pour annihiler les
enchères d'art sur Internet illustre parfaitement le climat économique
et politique actuel en France.
Cette focalisation du Conseil des Ventes, avec des déclarations
publiques récurrentes telles que: "les géants du net Artprice et Ebay
ont créé une confusion vis-à-vis des consommateurs", vient corroborer la
décision d'Artprice d'annoncer en Assemblée Générale d'installer
intégralement sa Place de Marché Normalisée à prix fixe et aux enchères
en Asie où se réalise plus de 50% du Marché de l'Art mondial, avec une
prévision pour 2015 de 70% (Cf. Evénements futurs: Déplacement du cœur
industriel de Artprice à Hong Kong http://www.actusnews.com/communique.php?ID=ACTUS-0-32651).
Cette démarche relève de l'acte de gestion salutaire et bénéfique
pour Artprice, ses clients, ses actionnaires français et étrangers au
regard de l'état des lieux du Marché de l'Art et des entraves en France.
Artprice rappelle que sa Place de Marché Normalisée à prix fixe (pour
laquelle elle ne perçoit aucune commission) croît de manière
conséquente d'année en année depuis 2005, notamment sur l'année 2013.
Le Marché de l'Art est en pleine croissance
Enfin en dehors de la France, le Marché de l'Art est en pleine
croissance avec pour 2013, la meilleure année jamais enregistrée en
terme de chiffre d'affaires et l'indice global des prix de l'art
(Artprice Global Index) prend 15 points cette année, au profit d'une
hausse général de l'ordre de 80 % en 10 ans.
2014 s'annonce déjà comme une année record, confirmant que le Marché
de l'Art est une véritable valeur refuge et désormais un véritable
marché avec une abondante liquidité par la croissance exponentielle des
acheteurs et vendeurs. Pour autant le taux d'invendus est linéaire
depuis 10 ans, ce qui signifie qu'il n'existe pas de spéculation de type
achat ATP et que la croissance du Marché de l'Art est vertueuse .
Il est bon de repréciser que le Marché de l'Art est passé des 500 000
grands collectionneurs de l'après-guerre à plus de 70 millions de
consommateurs, amateurs et collectionneurs d'art dans le monde. Les
chiffres du rapport annuel témoignent de cette révolution sociologique
sur le Marché de l'Art. Historiens comme Sociologues attestent de cette
mutation phénoménale du Marché de l'Art, ces 15 dernières années.
Artprice en exclusivité avec l'AFP sortira les chiffre clés de son
rapport annuel du Marché de l'Art la semaine prochaine et que reprennent
par son rapport ,chaque année, 6 300 médias dans le monde.
Evénements futurs
Artprice opérera cette transformation avec un nouveau développement
informatique de l'intégralité de la Place de Marché Normalisée à prix
fixe et aux enchères, avec une extrême simplicité pour les clients,
Artprice n'ayant pas à subir les contraintes malheureuses et
invraisemblables imposées par la France. Artprice a donc réécrit
l'intégralité de sa place de Marché à Prix Fixe et aux enchères ainsi
que les différentes banques de données.
En décembre 2013, Artprice a mis en ligne en version bêta, sa
nouvelle Place de Marché Normalisée avec un design particulièrement
attractif et intuitif demandé par ses clients. La version bêta déployée
en décembre 2013 fonctionne parfaitement avec des retours clientèles
élogieux. Artprice sera donc conforme à ses calendriers malgré les
tracasseries administratives françaises invraisemblables qui expliquent
entre autres la place de mauvais élève de la France dans le Marché de
l'Art malgré ses atouts historiques incontestables.
Pour cette nouvelle version bêta, Artprice a fait en sorte que, quel
que soit le smartphone, la phablet, la tablette, le système
d'exploitation, notamment Androïd, IOS et Windows Phone, soit près de
7 000 versions toutes cumulées, l'utilisateur d'Artprice n'aura
absolument plus besoin de télécharger des applications. Tout est écrit
pour que l'utilisateur d'Artprice, quel que soit son mobile Internet
dans le monde, ait Artprice en version optimisée, avec une ergonomie
très intuitive.
Le futur site en ligne inclura les nouveaux modes de paiement comme
bien sûr le kiosque, avec la possibilité pour Artprice de mettre ses
banques de données au cœur de l'opérateur 4G/LTE, sans aucun risque de
piratage d'un tiers. Bien évidemment, les kiosques 4G, LTE (Long Term
Evolution) en Asie et aux USA à terme sont un formidable relais de
croissance pour Artprice avec les kiosques payants de type Apple iTunes.
Pour 2014, l'ensemble des grands bureaux d'études émet un consensus
sur le fait que la majorité des accès à Internet se feront dans le monde
entier avec des objets mobiles (smartphones, phablet, tablettes,
NetTV…), en utilisant des réseaux sans fil. Selon eux, en 2014 sur une
année pleine, 2,8 milliards de personnes utiliseront des objets et
réseaux mobiles pour accéder à Internet et dépasseront pour la première
fois les 2 autres milliards d'internautes sur réseaux fixes.
La domination commerciale de l'Internet mobile colle parfaitement à
Artprice, car sa clientèle est par nature nomade, aisée et a besoin
d'informations dans le feu de l'action (Galeries, Salles des ventes,
Expertises…). L'Internet mobile pour Artprice devrait représenter sous
peu de temps 80% de ses consultations. Artprice, en janvier 2014, est
déjà à près de 61 % (iOS, Android). Ce chiffre est très supérieur à la
moyenne de 34% rencontrée sur les sites marchands au 1er semestre 2013 .
Artprice considère que ce nouveau paradigme économique de l'Internet
mobile est irréversible ainsi que l'arrivée très récente des "Silver
surfeurs" que sont les plus de 50 ans, amateurs et collectionneurs
d'art, à haut pouvoir d'achat et principaux utilisateurs d'Artprice, qui
font désormais d'Internet leur terrain de prédilection pour la
recherche d'œuvres d'art dans le monde avec les tablettes et smartphones
à grand écran qui correspondent parfaitement à leurs cultures de
Seniors. Le P.C. représentait pour eux, une vraie barrière psychologique
pour accéder à Internet et donc à Artprice.
Les derniers chiffres des bureaux d'études indiquent que les 50 ans
CSP+ sont ceux qui se connectent désormais le plus massivement à
l'Internet mobile, ces chiffres extérieurs abondent dans le sens
d'Artprice.
En s'appuyant sur les différentes données, notamment celles de
l'office européen de statistiques Eurostat, 63% des Européens ont acheté
un bien ou un service sur Internet, (74% aux USA) en 2013.
Artprice note, par ailleurs, que les plus grandes Maisons de Ventes
en 2013, qui se targuaient de plusieurs siècles d'existence, ne jurent
plus désormais que par l'Internet où selon leurs propres propos, le
middle market, qui représente 81% du Marché de l'Art mondial, est en
train de muter sur Internet. C.F. Entretien de thierry Ehrmann, PDG
d'Artprice, suite à l'interview du CEO de Christie's
http://www.actusnews.com/communique.php?ID=ACTUS-0-34664
http://www.actusnews.com/communique.php?ID=ACTUS-0-34664
De même, la vente d'œuvres d'art par les géants anglo-saxons et
asiatiques de l'Internet est une formidable opportunité pour les banques
de données normalisées ISO Artprice d'artistes et d'œuvres fine art,
auxquelles leurs clients pourront être reliés.
Les process industriels d'Artprice (tous protégés au titre de la
propriété intellectuelle aux USA, Europe et grande Asie) qui normalisent
le Marché de l'Art (ID artiste/bio, ID œuvre/traçabilité, ID catalogue
raisonné, ID estimation/économétrie, ID indice, ID image, ID
bibliographie, ...) avec des centaines de millions de données
propriétaires sont en train de se déployer dans l'Internet avec, sur
2014/2015 les bases de données en clair de l'intégralité des œuvres et
de leurs traçabilités (de 1700 à nos jours) dans le Marché de l'Art pour
générer une nouvelle accélération très forte du fichier clients mais
aussi par le développement des A.P.I.
ouvertes réalisées sous architecture REST.
De telles banques de données normalisées, qui s'enrichissent tous les
jours, sont le fruit de dizaines d'acquisitions dans le monde par
Artprice et plus d'un million d'heures de ses Historiens, Rédacteurs et
Développeurs de 1997 à 2013 (c.f. détail et historique intégral dans le
document de référence Artprice 2012 A.M.F. du 1er octobre 2013). Sans
aucune contestation possible, les banques de données d'Artprice en 6
langues, dont le mandarin, sont reconnues indiscutablement comme les
plus exhaustives au monde par l'ensemble des professionnels de l'Art.
En outre, Artprice a bâti son modèle économique en écartant le poste
publicité en ligne, la culture du groupe n'étant pas de vendre
prioritairement de l'espace publicitaire. Ceci dit, le fait d'injecter
des centaines de millions de données prioritaires dans Internet fait
qu'invariablement, Artprice est incontournable. Artprice a donc des
acteurs du Marché de l'Art, principalement des galeries et des Maisons
de Ventes qui lui demandent spontanément des campagnes sur mesure.
D'où pour 2014, la création d'une régie publicitaire qui inclura
entre autres de la vidéo en format court. Ce changement de culture n'est
pas un problème, mais plutôt une réponse construite à une demande
entrante naturelle, sans que Artprice ait besoin de démarcher des
clients.
De même, Artprice dès le 2T 2014, va déployer l'ensemble de ses
services et produits qui seront intégrés nativement par des A.P.I.
(interface de programmation) dans les réseaux sociaux après 18 mois de
test sur Facebook, Tweeter et Artprice Insider.
D'ores et déjà, Artprice confirme officiellement qu'au regard des
chiffres de Facebook, et de Socialbakers, Leader mondial de l'analyse
des logs de Facebook, Artprice a créé la plus grande communauté mondiale
qui s'intéresse spécifiquement à l'information sur le Marché de l'Art,
avec plus de 9 millions de membres mensuels.
Par ailleurs, Artprice sur sa page officielle Facebook dégage un
engagement logarithmique supérieur à 85, ce qui signifie en langage
simple, que la communauté mondiale créée par Artprice possède un très
fort degré d'implication et de redistribution de l'information
qu'Artprice développe pour Facebook.
De même, avec l'analyse de Socialbakers, l'Asie, principalement la
Chine, domine nettement la page officielle Facebook d'Artprice. D'où
l'intérêt d'avoir bâti un deuxième réseau social propriétaire où les
membres apparaîtront nominativement dans le réseau dénommé "Artprice
Insider" qui a été développé avec des experts et consultants en réseaux
sociaux.
La logique retenue est de placer un réseau social puissant et ouvert
de type Facebook qui permet à Artprice de capitaliser de nouveaux
clients en masse dans différentes langues, avec des barrières strictes
en terme d'échanges. Par la suite, ces nouveaux clients vont accéder à
Artprice Insider sur lequel leur véritable identité ainsi qu'un indice
de confiance leur permettront d'échanger à découvert, entre membres, des
informations sensibles sur le Marché de l'Art qui ne peuvent bien
évidemment pas être abordées sur un réseau grand public.
Ce retard a été bénéfique pour Artprice qui a pu ainsi inclure
Twitter dans son fil d'information comme le réseau social destiné
principalement aux émetteurs d'informations primaires de type agences de
presse comme Artprice.
http://www.artprice.com (c)1987-2014 thierry Ehrmann
Pour les nouveaux actionnaires, Artprice vous invite à lire :
"Entretien exclusif de thierry Ehrmann avec Trading and Ipo" du
30/09/2013 qui permet de décrypter en profondeur l'historique d'Artprice
et ses développements futurs : http://www.actusnews.com/communique.php?ID=ACTUS-0-33600
Consulter mon avis personnel sur Atrprice avec objectif de cours ici :