La croissance en nombre de visiteurs est de 181% par rapport au 1T2013.
Le véritable succès économique réside dans le fait qu'Artprice
n'a pas perdu de chiffre d'affaires et en a même gagné, ce que la presse
écrite et de nombreux éditeurs, hélas, ne peuvent revendiquer sauf en
de rares cas. Fort de ce succès industriel, validé par ses chiffres,
Artprice va continuer plus que jamais à injecter sous différents
formatages, ces centaines de millions de nouvelles données
alphanumériques gratuites dans les mêmes conditions juridiques pour 2014
et 2015.
En effet, a contrario de la presse écrite dans le monde, qui est
confrontée à une crise sans précèdent car elle ne trouve pas encore de
modèle rentable avec l'Internet, Artprice, depuis début janvier 2014, a
accéléré l'injection de 80% de ses données en mode gratuit dans Internet
avec désormais 630 millions de data de 1700 à nos jours en mode
freeware (licence informatique propriétaire distribuée gratuitement sans
toutefois conférer à l'utilisateur certaines libertés d'usage) par ses
accords avec Google (depuis 2003) puis Baidu (Chine).
Le Core Business d'Artprice: le Big Data à forte valeur ajoutée.
Pour information, Google avec les nouveaux champs de données
Artprice a effectué 54 millions de requêtes d'indexation pour enrichir
son moteur pour le seul mois d'avril 2014, ce que très peu de sociétés
Européennes, tous secteurs confondus, peuvent prétendre réaliser.
Pour le marché Américain, Artprice a ouvert ses banques de
données en mode freeware à Bing (Microsoft) deuxième moteur mondial en
part de marché (USA /Europe).
Arprice détermine avec précision la bonne césure dans la valeur
ajoutée de ses données, en ne gardant en mode payant que les 20% de la
donnée où la valeur ajoutée déterminante réside, cautionnant ainsi la
véracité des 80% de part gratuite.
Cette économie numérique en pleine croissance mondiale se nomme "
freemium ", où le principal est gratuit et la valeur ajoutée payante.
Les principaux bureaux d'études émettent un fort consensus sur
l'économie numérique de type " freemium " en indiquant néanmoins, que la
démarche industrielle est très complexe pour trouver la juste équation
de la césure entre la data gratuite et la payante.
Selon thierry Ehrmann, Président et fondateur, " Artprice qui a
parfaitement validé l'économie "freemium" permet de démontrer sa
capacité exceptionnelle à générer de nouveaux membres qualifiés ". Ceci
permettra à Artprice de viser à terme par son Big Data (horizon
2015/2016), plus de 12 millions de profils clients avec leurs modes
comportementaux grâce, notamment, à l'aide conséquente des réseaux
sociaux, dans le respect des textes en vigueur, sans la moindre perte de
C.A. avec un résultat positif et un accroissement des fonds propres
(c.f. Rapport financier 2013).
Ces masses de données gratuites en mode freeware d'Artprice, très
importantes pour le Marché de l'Art, vont continuer à modifier
radicalement la structure de la connaissance de ce marché historique et
très archaïque et donc faire migrer les transactions physiques vers
l'Internet de par la normalisation des oeuvres permettant ainsi la
dématérialisation comme la corbeille et les carnets d'ordres face aux
bourses électroniques (ECN).
Les chiffres d'Artprice qui ont été clôturés en 2013 valident en
tous points cette stratégie et ont permis d'acquérir durant cet exercice
une masse considérable de nouveaux membres avec leurs modes
comportementaux, dans le strict respect des textes en vigueur en France,
en Europe et aux USA notamment.
Les informations personnelles constituent un bien très précieux
pour les principaux acteurs d'Internet (exemple : Amazon, Apple,
Facebook, Google et Microsoft). Ces géants peuvent ainsi mieux anticiper
les demandes des internautes et leur proposer des réponses payantes
très ciblées.
"Les données personnelles sont devenues une nouvelle matière
première", selon J. Colin, expert chez Roland Berger Strategy
Consultant. Selon ce célèbre institut d'études qui vient de publier une
analyse sur "la gestion et l'exploitation des données des utilisateurs",
le secteur du Big Data est en croissance exponentielle car la
production et la quantité de données générées sur Internet sont en
pleine expansion.
Indiscutablement, le Core Business d'Artprice est bien le Big
Data à forte valeur ajoutée qui est là pour assurer une très forte
croissance les prochaines années.
Une démarche industrielle qu'Artprice a acquise en pionnier, à
travers le Big Data et l'analyse de milliards de logs (requêtes ciblées)
de comportements de ses clients dans le respect des législations
nationales, européennes et américaines. Pour la France, l'institut
d'études Roland Berger estime le simple marché français sur les données
personnelles comme un marché de 100 milliards de dollars (cf. Le
Figaro). A l'échelle mondiale, le marché est estimé à 1800 milliards de
dollars.
Pour rappel, Artprice opère sur 72 pays et, au regard des
critères de cette étude, ne peut que constater que la valorisation des
données comportementales relatives au Marché de l'Art positionne les
données d'Artprice en haut de l'échelle de Roland Berger Strategy
Consultant.
Ces données, qui ne sont pas activées dans le bilan d'Artprice
compte tenu des normes IFRS, constituent pourtant de très loin, sa
richesse principale, d'où une double cotation en réflexion avancée sur
une bourse étrangère qui maîtrise et valorise cet actif immatériel que
la place de Paris ignore par faute de référents.
Le Marché de l'Art sur Internet
Concernant sa Place de Marché Normalisée aux Enchères, Artprice ne peut que constater
la volonté très clairement affichée et sans ambiguïté du Conseil
des Ventes Volontaires (Instance de régulation française du Marché de
l'Art) de modifier à nouveau la loi du 20 juillet 2011 (2011-850) et
notamment l'article 5, sous lequel Artprice a bâti son cahier des
charges et sa Place de Marché Normalisée aux Enchères en tant que
"infrastructure permettant la réalisation d'opérations de courtage aux
enchères réalisées à distance par voie électronique".
Cette position inconcevable mène ainsi Artprice à redévelopper
intégralement cette activité en Asie, plus particulièrement à Hong Kong
avec de nouvelles plates-formes informatiques et bancaires pour 2014.
Pour mémoire, Artprice rappelle que la France s'est vue
sérieusement remise à l'ordre par la vraie fausse réforme du 10 juillet
2000. De surcroît, la France a produit, pour sa deuxième réforme de
2011, une nouvelle loi suite à la directive européenne sur les services,
avec deux années de retard, tout cela pour préserver les intérêts des
acteurs français, ce qui n'a pas empêché le déclin de la France,
reléguée désormais avec 4% de parts de marché fine art et moins de 2,7%
sur le segment contemporain.
De plus, Artprice a pris connaissance par la presse, d'une
troisième "réforme" française sur les enchères d'art en préparation
visant principalement les acteurs de l'Internet. Cette démarche se passe
de tout commentaire et reconstitue à nouveau une forme de monopole.
Cette incroyable posture française pour annihiler les enchères
d'art sur Internet illustre parfaitement le climat économique et
politique actuel en France.
Les très récents articles de loi de mars 2014 sur les enchères
durcissent encore la position française (C.F. Loi 2014-244 publié le 18
mars 2014) et confirment définitivement l'analyse d'Artprice.
Cette focalisation du Conseil des Ventes, avec des déclarations
publiques récurrentes telles que: "les géants du net Artprice et Ebay
ont créé une confusion vis-à-vis des consommateurs", vient corroborer la
décision d'Artprice d'annoncer en Assemblée Générale d'installer
intégralement sa Place de Marché Normalisée à prix fixe et aux enchères
dans la Grande Asie où se réalisent plus de 50% du Marché de l'Art
mondial, avec une prévision pour 2015 de 70% (Cf. Evénements futurs :
Déplacement du coeur industriel de Artprice à Hong Kong
http://www.actusnews.com/communique.php?ID=ACTUS-0-32651).
Cette démarche relève de l'acte de gestion salutaire et bénéfique
pour Artprice, ses clients, ses actionnaires français et étrangers au
regard de l'état des lieux du Marché de l'Art et des entraves à ses
métiers en France. De même, il est prévu de réactiver la filiale
américaine Artprice Inc. New York pour bénéficier d'une législation
ouverte aux enchères sur Internet dans le marché mondial de l'art. Cette
double implantation permettra d'être au coeur des deux places
stratégiques du Marché de l'Art.
Artprice rappelle que sa Place de Marché Normalisée à prix fixe
(pour laquelle elle ne perçoit aucune commission) croît de manière
conséquente d'année en année depuis 2005, notamment sur l'année 2014.
Il faut souligner ce mois-ci, l'étude d'Hiscox, l'un des
principaux assureurs sur le Marché de l'Art, qui porte sur les ventes en
ligne d'oeuvres d'art et qui met en évidence une très forte confiance
des acheteurs. Les plates-formes des Maisons de Ventes traditionnelles
comme Christie's et Sotheby's associent ventes hors ligne et en ligne.
Le rapport sur le Marché de l'Art en ligne réalisé pour
l'assureur Hiscox montre que les acheteurs d'oeuvres d'art font de plus
en plus confiance aux plates-formes sur Internet. Le modèle "click and
buy" - où l'ensemble de la transaction s'effectue en ligne, de la
découverte de l'oeuvre à son paiement - devient monnaie courante : 40%
des 500 collectionneurs sondés ont acquis des pièces par ce biais. De
plus, à l'expérience, 39% des sondés estiment l'achat sur le Net moins
intimidant qu'en galerie ou en Maison de Ventes aux enchères.
L'étude montre aussi un niveau de satisfaction particulièrement élevé.
On note que, près de la moitié des habitués des achats en ligne
se disent prêts à débourser 5 000 euros ou plus. Pour un niveau de
satisfaction élevé puisque 65% sont extrêmement ou très satisfaits de
leurs emplettes sur l'Internet, contre seulement 8% qui se disent
mécontents.
Enfin, l'assureur, qui selon lui, est leader mondial sur ce
secteur, évalue le potentiel de croissance des ventes en ligne à plus
qu'un doublement d'ici à 2018.
Cette étude totalement indépendante d'Artprice confirme en tous
points les postulats d'Artprice sur le Marché de l'Art en ligne.
Le Marché de l'Art est en pleine croissance.
Enfin, en dehors de la France, le Marché de l'Art est en pleine
croissance avec pour 2013, la meilleure année jamais enregistrée en
terme de chiffre d'affaires et l'indice global des prix de l'art
(Artprice Global Index) prend 15 points cette année, au profit d'une
hausse générale de l'ordre de 80 % en 10 ans.
2014 s'annonce déjà comme une année record, confirmant que le
Marché de l'Art est une véritable valeur refuge et désormais un
véritable marché avec une abondante liquidité par la croissance
exponentielle des acheteurs et vendeurs. Pour autant, le taux d'invendus
est linéaire depuis 10 ans, ce qui signifie qu'il n'existe pas de
spéculation de type achat ATP et que la croissance du Marché de l'Art
est vertueuse.
Il est bon de re-préciser que le Marché de l'Art est passé de 500
000 grands Collectionneurs de l'après-guerre à plus de 70 millions de
Consommateurs, Amateurs et Collectionneurs d'art dans le monde. Les
chiffres du rapport annuel témoignent de cette révolution sociologique
sur le Marché de l'Art. Historiens comme Sociologues attestent de cette
mutation phénoménale du Marché de l'Art ces 18 dernières années.
Pour information, il s'ouvre chaque jour dans le monde, un
nouveau Musée d'Art d'envergure internationale. De même, on dénombre
désormais plus de 400 Foires d'Art et Biennales dans le monde sur une
année.
Evénements futurs :
Artprice opérera cette transformation avec un nouveau
développement informatique de l'intégralité de la Place de Marché
Normalisée à prix fixe et aux enchères, avec une extrême simplicité pour
les clients, Artprice n'ayant pas à subir les contraintes malheureuses
et invraisemblables imposées par la France. Artprice a donc réécrit
l'intégralité de sa place de Marché à Prix Fixe et aux enchères ainsi
que les différentes banques de données.
En fin décembre 2013, Artprice a mis en ligne, en version bêta
test, sa nouvelle Place de Marché Normalisée avec un design
particulièrement attractif et intuitif demandé par ses clients. La
version 1.2 déployée en Avril 2014 fonctionne parfaitement avec des
retours clientèles élogieux. Artprice se tiendra à ses calendriers
malgré les tracasseries administratives françaises invraisemblables qui
expliquent entre autres, la place de mauvais élève de la France dans le
Marché de l'Art malgré ses atouts historiques incontestables.
Pour cette nouvelle version bêta test, Artprice a fait en sorte
que, quel que soit le smartphone, la phablet, la tablette, le système
d'exploitation, notamment Androïd, IOS et Windows Phone, soit près de 7
000 versions toutes cumulées, l'utilisateur d'Artprice n'aura absolument
plus besoin de télécharger des applications spécifiques à son modèle.
Tout est écrit pour que l'utilisateur d'Artprice, quel que soit son
mobile Internet dans le monde, ait Artprice en version optimisée, avec
une ergonomie très intuitive.
Le futur site en ligne inclura les nouveaux modes de paiement
comme bien sûr le kiosque, avec la possibilité pour Artprice de mettre
ses banques de données au coeur de l'opérateur 4G, 4G+,LTE, sans aucun
risque de piratage d'un tiers. Bien évidemment, les kiosques 4G,4G+, LTE
(Long Term Evolution) en Asie et aux USA à terme sont un formidable
relais de croissance pour Artprice avec les kiosques payants de type
Apple iTunes.
Pour 2014, l'ensemble des grands bureaux d'études émettent un
consensus sur le fait que la majorité des accès à Internet se feront
dans le monde entier avec des objets communicants mobiles (smartphones,
phablet, tablettes, NetTV...), en utilisant des réseaux sans fil. Selon
eux, en 2014 sur une année pleine, 2,8 milliards de personnes
utiliseront des objets et réseaux mobiles pour accéder à Internet et
dépasseront pour la première fois les 2 autres milliards d'internautes
sur réseaux fixes.
La domination commerciale de l'Internet mobile colle parfaitement
à Artprice car sa clientèle est par nature nomade, aisée et a besoin
d'informations dans le feu de l'action (Galeries, Salles des ventes,
Expertises...). L'Internet mobile pour Artprice devrait représenter sous
peu de temps 80% de ses consultations. Artprice, en janvier 2014, est
déjà à près de 68 % (iOS, Android). Ce chiffre est très supérieur à la
moyenne de 36 % rencontrée sur les sites marchands au 1[er] trimestre
2014.
Artprice considère que ce nouveau paradigme économique de
l'Internet mobile est irréversible ainsi que l'arrivée très récente des
"Silver surfeurs" que sont les plus de 50 ans, amateurs et
collectionneurs d'art, à haut pouvoir d'achat et principaux utilisateurs
d'Artprice, qui font désormais d'Internet leur terrain de prédilection
pour la recherche d'oeuvres d'art dans le monde avec les tablettes et
smartphones à grand écran qui correspondent parfaitement à leurs
cultures de Seniors. Le P.C. représentait pour eux, une vraie barrière
psychologique pour accéder à Internet et donc à Artprice.
Les derniers chiffres des bureaux d'études indiquent que les 50
ans CSP+ sont ceux qui se connectent désormais le plus massivement à
l'Internet mobile, ces chiffres extérieurs abondent dans le sens
d'Artprice.
En s'appuyant sur les différentes données, notamment celles de
l'office européen de statistiques Eurostat, 63% des Européens ont acheté
un bien ou un service sur Internet en 2013 (74% aux USA).
Artprice note, par ailleurs, que les plus grandes Maisons de
Ventes en 2013, qui se targuaient de plusieurs siècles d'existence, ne
jurent plus désormais que par l'Internet où selon leurs propres propos,
le middle market (de 1 à 12 000 EUR) qui représente 81% du Marché de
l'Art mondial, est en train de muter sur Internet. C.F. Entretien de
thierry Ehrmann, PDG d'Artprice, suite à l'interview du CEO de
Christie's
De même, la vente d'oeuvres d'art par les géants anglo-saxons et
asiatiques de l'Internet est une formidable opportunité pour les banques
de données normalisées ISO Artprice d'artistes et d'oeuvres fine art,
auxquelles leurs clients pourront être reliés.
Les process industriels d'Artprice (tous protégés au titre de la
propriété intellectuelle aux USA, Europe et grande Asie) qui normalisent
le Marché de l'Art (ID artiste/bio, ID oeuvre/traçabilité, ID catalogue
raisonné, ID estimation/économétrie, ID indice, ID image, ID
bibliographie, ...) avec des centaines de millions de données
propriétaires sont en train de se déployer dans l'Internet avec, sur
2014/2015 les bases de données en clair de l'intégralité des oeuvres et
de leurs traçabilités (de 1700 à nos jours) dans le Marché de l'Art pour
générer une nouvelle accélération très forte du fichier clients (Big
Data) mais aussi par le développement des A.P.I. ouvertes réalisées sous
architecture REST.
De telles banques de données normalisées, qui s'enrichissent tous
les jours, sont le fruit de dizaines d'acquisitions dans le monde par
Artprice et plus d'un million d'heures de ses Historiens, Rédacteurs et
Développeurs de 1997 à 2014 (c.f. détail et historique intégral dans le
document de référence Artprice 2012 A.M.F. du 1er octobre 2013). Sans
aucune contestation possible, les banques de données d'Artprice en 6
langues, dont le mandarin, sont reconnues indiscutablement comme les
plus exhaustives au monde par l'ensemble des professionnels de l'Art,
chiffres à l'appui.
En outre, Artprice a bâti son modèle économique en écartant le
poste publicité en ligne, la culture du groupe n'étant pas de vendre
prioritairement de l'espace publicitaire. Ceci dit, le fait d'injecter
des centaines de millions de données prioritaires dans Internet fait
qu'invariablement, Artprice est incontournable. Artprice a donc des
acteurs du Marché de l'Art, principalement des Galeries et des Maisons
de Ventes qui lui demandent spontanément des campagnes sur mesure.
D'où, durant l'année 2014, la création d'une régie publicitaire
(interne ou externe) qui inclura entre autres de la vidéo en format
court. Ce changement de culture n'est pas un problème mais plutôt une
réponse construite à une demande entrante naturelle, sans que Artprice
ait besoin de démarcher des clients.
De même, Artprice va déployer l'ensemble de ses services et
produits qui seront intégrés nativement par des A.P.I. (interface de
programmation) dans les réseaux sociaux après 18 mois de test sur
Facebook, Tweeter et Artprice Insider.
D'ores et déjà, Artprice confirme officiellement qu'au regard des
chiffres de Facebook et de Socialbakers (Leader mondial de l'analyse
des données de Facebook), Artprice a créé la plus grande communauté
mondiale qui s'intéresse spécifiquement à l'information sur le Marché de
l'Art, avec plus de 9 millions de membres mensuels.
Par ailleurs, Artprice sur sa page officielle Facebook dégage un
engagement logarithmique très supérieur à la moyenne du secteur, ce qui
signifie en langage simple, que la communauté mondiale créée par
Artprice possède un très fort degré d'implication et de redistribution
de l'information qu'Artprice développe pour Facebook.
De même, avec l'analyse de Socialbakers, l'Asie, principalement
la Chine, domine nettement la page officielle Facebook d'Artprice, d'où
l'intérêt de bâtir un deuxième réseau social propriétaire où les membres
apparaîtront nominativement dans le réseau dénommé "Artprice Insider"
qui a été développé avec des experts et consultants en réseaux sociaux.
La logique retenue est de placer un réseau social puissant et
ouvert de type Facebook qui permet à Artprice de capitaliser de nouveaux
clients en masse dans différentes langues, avec des barrières strictes
en terme d'échanges. Par la suite, ces nouveaux clients vont accéder à
Artprice Insider sur lequel leur véritable identité ainsi qu'un indice
de confiance leur permettront d'échanger à découvert, entre membres, des
informations sensibles sur le Marché de l'Art qui ne peuvent bien
évidemment pas être abordées sur un réseau grand public de type
Facebook.
Ce retard a été bénéfique pour Artprice qui a pu ainsi inclure
Twitter dans son fil d'information comme le réseau social destiné
principalement aux émetteurs d'informations primaires de type agences de
presse comme Artprice.
Objectif de cours inchangé.